De Notre Seigneur Jésus-Christ à Henri, Mystique de l’Ordre Romain de Marie Reine de France

Jésus Rédempteur Sacré Coeur

Henri : Je suis allongé et je vois la Turquie. Les plaies me font très mal. La vision devient plus claire : je vois le détroit du Bosphore qui est bloqué. Les bateaux restent bloqués dans la Mer Noire. Istanbul a été bombardée, je ne comprends pas ce qu’il s’est passé. J’essaie de lever la main droite pour me signer. Notre Seigneur Jésus Christ apparaît près du lit. Il est vêtu d’une longue tunique blanche sans ceinture, la couronne d’épines sur la tête, les plaies à ses mains, pieds et son côté. Des gouttes de sang de sa couronne d’épines glissent sur son visage et tachent sa tunique.

Notre Seigneur Jésus Christ : Mon âme oblative offrez-vous avec moi. La flamme qui baisse risque de s’éteindre et ne pourra pas vaincre les ténèbres. Si les foyers de prière n’ouvrent pas le Grand Message de Réparation aux dimensions du monde, l’humanité pécheresse éparpillée qui n’entend pas restreindre son impétuosité se laissera surprendre par l’obscurité chaque fois que les dates des apparitions de ma Très Sainte Mère, sous l’appellation glorieuse de Marie Madone de la Réparation, s’accorderont avec les grands événements de ces temps. La guerre a été orchestrée. Elle bouscule les habitudes, brise les oppositions mais elle obtiendra le retentissement international voulu. C’est parce qu’un pouvoir dictatorial sera imposé que j’ai envoyé sur la terre mon « Archer ». Le plan de la fausse paix a été ficelé prêt à unir toutes les parties du Proche et du Moyen Orient. Les juifs seront les premiers à tomber, ils reconnaîtront la bête comme leur véritable messie, subjugués par une présence dans leur solitude ; une réponse devant leur silence. Mon fils, les hommes sont indifférents à la main divine que je leur ai tendue. Leurs mauvais choix laisseront une trace dans l’histoire de ce temps.

Henri : Notre Seigneur tourne la tête vers la droite, dans une sphère de lumière, la mer Méditerranée du côté du Proche Orient, je vois que le ciel est orangé comme s’il y avait du feu. J’ai entendu plusieurs détonations.

Notre Seigneur Jésus : Le temps de l’attaque et de la riposte est venu, celui d’une évitable escalade incontrôlable qui exécute l’amorce d’une paix simulée. Le Petit Reste conclura à ce signe avant-coureur la révolution européenne. Mon Fils, les pécheurs pataugent dans la fange, entourés des ténèbres de la mort. D’un côté le déluge du drapeau noir, et de l’autre le torrent du communisme. Les jours d’anarchie se lèvent sur le monde européen. La France s’en va en guerre, une guerre qui n’est pas la sienne. Pour sortir de celle-ci, la population des villes pénétrera dans la campagne. Des scènes sordides de pillage, de meurtres et d’incendies, le peuple prendra la rue par la force. De nombreuses atrocités seront portées à la vue des nations. Ce seront les jours d’insurrection.

Henri : Dans la sphère de lumière, je vois l’Égypte en guerre près du Caire, non loin du canal de Suez. Puis je comprends une longue période de deuil parce que la tête du pouvoir est tombée. Jésus reprend.

Notre Seigneur Jésus : Les pécheurs seront sévèrement châtiés pour leur ingratitude. Leur peu de Foi et leur attitude hostile devant les manifestations célestes. L’Irlande et l’Écosse ont fixé leur pacte. La perfide Albion vit ses dernières heures avant le sang, avant que la monarchie ne soit contrainte de descendre du trône et s’enfoncer dans les lointains. L’Espagne et le Portugal se préparent à s’affronter dans une guerre intestine au cours de laquelle la tête des deux pouvoirs va disparaître.

Henri : Je vois la Mer Méditerranée. Il fait très chaud. Je n’arrive pas à respirer. Je tends les mains vers Jésus pour m’aider.

Notre Seigneur Jésus : Regardez mon prophète, regardez bien ! Annoncez-le vite ! La Mer Méditerranée s’envolera dans la projection de gerbes de vapeurs brûlantes. Et les Océans Atlantiques, Indiens et Pacifiques, de leurs vagues de nature sismique et volcanique monteront sur la Terre et viendront détruire de nombreuses grandes villes réduites à l’impuissance devant le juste courroux.

Henri : Je vois une maison très simple faite de briques, aux murs une image de la Madone de la Réparation suinte une huile parfumée tantôt une odeur de rose, tantôt de jasmin, tantôt de lys. Je vois la famille qui habite cette maison puis notre Seigneur me montre de l’index les roses. Il les compte une à une. Il s’arrête uniquement à la guirlande de roses. Du côté de la cape où se trouvent en haut les armoiries du Saint Père le Pape Jean Paul II. Jésus me dit :

Ces roses donneront le signe du mois où vous verrez l’Ours Blanc (la Russie) dans une énième attaque sous-marine désespérée s’emparer de l’Europe, de sa capacité nucléaire. La France pour son athéisme, son immoralité pour s’être vendu au croissant de lune et pour avoir refusé l’appel de ma Très Sainte Mère ; l’Allemagne et l’Italie pour s’être disputés le trône de Saint Pierre en suscitant un autre pape à la fin d’un conclave qui a donné à l’Église le pape du grand martyr de sang ; seront tourmentés par une étendue de feu aussi vaste que la mer. C’est ainsi que la révolution sera allumée dans le pays de l’Ours Blanc.

Henri : Ô Jésus mon unique amour, je ne peux pas porter seul sur mes épaules toutes ces révélations.

Notre Seigneur Jésus : Les âmes qui lisent les messages remuent les pieds sans avancer. Elles ne renoncent pas à leurs vies ni à leurs liens, ne savent pas M’offrir leurs cœurs pour que je les garde en Mon Cœur. Elles tiennent des propos qui servent leurs causes qui ne les mettent pas en face des dommages de leurs manquements. Mon fils, ce soir Mon Cœur qui saigne appelle une mobilisation des forces vives sur tous les continents, dans toutes les nations à l’intérieur même des peuples.

Henri : Ô Seigneur, aidez-moi, qui me croira ?

Notre Seigneur Jésus : Le Croissant de lune perdra sa force quand Jérusalem brillera, parée comme une jeune mariée, parce qu’elle sera une ville royale. Le croissant croulera. Cet Ordre aujourd’hui combattu et pilonné, demain réintroduira partout ma Sainte Croix qui sera aimée et vénérée.

Henri : Dans la sphère de lumière, je vois la Turquie puis Ankara. Ensuite Istanbul. Dans ces deux villes, le drapeau de l’Ordre Romain flotte et le drapeau de la France avec le Sacré Cœur de Jésus. J’aperçois des prêtres que je ne connais pas encore avec le scapulaire de l’Ordre Romain taché de sang. Ils tiennent chacun une petite Croix. Jésus pose la main sur mon front, je ferme les yeux. En les ouvrant, notre Seigneur a disparu. A ce moment-là, je reçois des coups de fouets qui me font crier de douleur.

Au nom du Père + du Fils + et du Saint-Esprit +Amen


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