
Dans l’apparition mariale de la Salette, la Très Sainte Vierge Marie, notre Mère dit ceci des chrétiens :
« Le Carême, ils vont à la boucherie, comme les chiens. »
Ce message vieux de 1846 montre comment le Ciel est offensé par notre légèreté dans notre manière de vivre notre Foi, en particulier de la consommation de viande pendant le Carême. Ce message est exigeant mais c’est ce qu’enseignait la Sainte Eglise à l’époque.
Notre Seigneur attend de nous prières, pénitences, partage pendant le Carême, c’est-à-dire substantiellement ce que la madone de la Réparation répète : prières, pénitences, sacrifices. Il est demandé comme aux premiers siècles de l’Ere chrétienne un jeûne à hauteur de ce que nous pouvons offrir :
-Abstinence de viande, de poissons, d’œufs et produits laitiers tout le Carême.
-Jeûne total les Mercredis des Cendres et Vendredi Saint jusqu’au Samedi Saint minuit.
Notre Dame reprécise cela à Henri lors d’une apparition le 27 décembre 2004 :
« Mes Enfants, écoutez bien : jeûnez le lundi pour vos prêtres, jeûnez le mercredi pour Moi, à Mes intentions, jeûnez le vendredi pour Mon Fils, en souvenir de Sa Passion. »
Evidemment, il est naturel que les malades, les personnnes âgées et les enfants en croissance soient dispensées de ce jeûne et le remplacent par un acte de charité.
Le bureau de l’Espérance en Marie

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